Bien que je préfère les couvertes en flanalette.
Après une légère tempête d'ordre existentielle et métapsychique, qui a eu l'avantage d'évacuer les boulons pathétiques et d'avancer dans ma quête de la sixième fantaisie finale, me revoici aux commandes.
Le printemps est dans l'air, dans ma violette et dans ma tête. Dans les deux cas, ça pousse et repousse et c'est la cambrousse. Je profite de la fin de mon présent contrat pour mettre de l'engrais dans mes projets et les préparer à leur floraison maximale. Il faut bien cesser d'arroser son nombril si on veut s'occuper de son jardin.
Nouveau parcours, prendre la vie de façon zen même si elle zizague.
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